« D'après les rapports préliminaires » des enquêtes policières et des expertises médicales, il s'agirait d'une mort naturelle, a déclaré à l'agence Hirondelle, le porte-parole du TPIR, Roland Amoussouga. Il a indiqué que le juriste sri lankais souffrait de séquelles « d'antécédents médicaux ».
« Nous attendons les résultats complémentaires des examens toxicologiques et autres pour déterminer avec plus de précision la cause exacte de sa mort », a-t-il poursuivi, excluant cependant la possibilité d'une agression.
« Il convient de noter que les rapports préliminaires écartent l'hypothèse d'une quelconque violence sur le corps pouvant suggérer un meurtre », a souligné le porte-parole du tribunal.
La semaine dernière, la police tanzanienne avait annoncé l'ouverture d'une enquête sur les circonstances de la mort du jeune magistrat sri lankais.
Selon le commandant de la police à Arusha, Basilio Matei, le corps de Rajapaksa a été retrouvé étendu sur le sol le 12 août, saignant de la bouche et du nez. La première personne a à avoir découvert le corps est la femme de ménage qui a immédiatement alerté la police.
ER/GF
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